Le 11 Août

 

 

Il était prévu que nous roulions beaucoup aujourd' hui . Au cours d' une journée de transition, nous devions relier Kasane 

à Maun  : les deux plus grands pôles touristiques du Botswana .

Nous commencions à émettre quelques regrets concernant l' itinéraire que nous établissions lorsque nous avions imaginé ce voyage .

Peut-être ne nous étions nous pas montrés assez audacieux ?! Nous avions longuement hésité avant de finalement trancher : jouant

la prudence, à la piste reliant ces deux localités, avions-nous préféré la route goudronnée passant par Nata .

Nous roulions désormais sur une route bitumée et en excellent état, nous y avalions rapidement les premiers kilomètres . Le rythme

s' est en revanche très ralenti sur les 80 derniers kilomètres avant Nata . Nous empruntions alors, une "route" étroite et garnie de nombreux "nids de poule", parallèle à celle actuellement en construction (visiblement depuis de nombreuses années) . Nous y avons croisé énormément

de camions que l' état de la chaussée ne semblait pas empêcher de rouler à très vive allure .

Le danger était réel ... nous redoublions de prudence .

Nous abordions ensuite un nouveau contrôle sanitaire où nous allions à nouveau, sortir chacune de nos nos chaussures !

Nous nous sommes également allégés de nos saucisses prévues au menu de ce soir, ainsi que de quelques oranges .

Au delà de Nata, nous abordions la belle région des grands pans salés, faite de grandes étendues arides et de larges horizons .

Le revêtement de la route était à nouveau excellent . En avance, nous décidions de faire étape à Baines Baobabs où nous prévoyions 

d' y pique-niquer . Il nous fallait cependant franchir les portes du NxaiPan National Park  tout en s' acquittant de son droit d' entrée

d' environ 12 € par personne . Dans un simple aller et retour de deux heures tout au plus, ce pique-nique nous serait revenu un peu

cher ; un peu à regrets, nous convenions de ne pas nous y rendre . Nous tracions désormais directement, jusqu' à atteindre Maun .

La ville située au pied du prestigieux Delta de l' Okavengo, constitue le premier pôle touristique du Botswana ...

Nous allions en profiter pour nous y réapprovisionner .

 

 

Puis, nous nous rendions au Crocodile Camp  où nous y avions réservé un emplacement pour les deux nuits à venir . Il s' agit d' un bel établissement abrité dans un grand jardin fleuri bordant la rivière Thamalakane .

L' aire de camping ne s' y situe cependant pas, relayée bien en retrait de

ces jolies berges, occupant une plateforme poussiéreuse et pentue sans charme, dont les emplacements étaient mal délimités . Le bloc sanitaire (commun) était quant à lui, vieillissant et mal entretenu . (et oui, après

les camps de rêve que nous avions fréquentés, il était légitime que nous soyons devenus un peu difficile, non ?!) .

 

Nous avions bien fait de réserver ... nous étions les seuls à y camper !

De retour à la réception, nous nous assurions que la réservation de

l' activité que nous avions prévue faire le lendemain avait bien été prise

en compte . Des voyageurs rencontrés en cours de voyage nous avaient unanimement confirmé ce que déjà d' autres nous avaient conseillé : "Effectuer un vol en petit avion de tourisme au dessus du Delta de

l' Okavengo se révèle être un moment de pure magie !" . Notre emploi

du temps du surlendemain n' étant pas défini, nous convenions de

succomber à cette suggestion ... La réception du Crocodile Camp

s' est chargé d' en effectuer pour nous, la réservation !

 

 



Le 12 Août

Mokoro day Trip

 

Ce matin, nous avions rendez-vous dès 8 heures sur le ponton du

Crocodile Camp . Nous avons tout d' abord remonté le cours de la

rivière Thamalakane  à bord d' un rapide petit bateau à moteur ...

La balade matinale nous semblait déjà fantastique, mais un peu frisquette .

Les eaux du fleuve Okavango  ont la particularité de ne jamais rejoindre

l' océan ; son cours s'achève ici, et forme le vaste delta de l' Okavango ...

Nous allions aujourd' hui l' explorer à bord de bien singulières embarcations . Après 45 min de navigation, nous atteignions une base où étaient rassemblés de très nombreux mokoros, d' étroites pirogues instables et caractéristiques de la région ... Nous y prenions place pour une journée entière de navigation ...

 

 

 

Loin de toute agitation, l' activité proposait de partir explorer la partie Sud du Delta de l' Okavango  à travers une rencontre qui se voulait silencieuse et intime . Nous y évoluions deux par embarcation, accompagnés d' un équilibriste guide poler .

Une fois encore, notre connaissance de l' anglais ne nous a pas permis de comprendre chacune des explications dispensées par notre guide

que nous devinions très compétent concernant cet environnement ... Une fois encore, nous ne pouvions que le déplorer !

 

 

Nous glissions au niveau de l' eau, dans une atmosphère de zénitude absolue ; le temps semblait alors comme suspendu .

Ainsi, bercés sur les eaux du Delta, naviguions-nous depuis près de trois heures, sans ne jamais nous en être vraiment lassés .

Nous accostions alors sur un des nombreux îlots du delta : un véritable petit coin de paradis sauvage et retiré de tout .

 

 

Accompagnés de notre guide, nous partions randonner à travers le bush ... Après trois heures passées assis et recroquevillés, un simple

lit de paille en guise d' "amortisseur" pour nos postérieurs, nous accueillions cette petite marche avec beaucoup d' enthousiasme .

 

 

Au cours de la balade, le guide avait interprété chacune des nombreuses empreintes laissées par les animaux et détectées dans le sol,

presqu' à en retracer leur histoire ; il nous avait expliqué les spécificités de la flore locale ; nous avait mené vers un point où s' étaient

rassemblés de nombreux zèbres et antilopes aquatiques .

 

 

Nous aurions volontiers prolongé un peu cette promenade ... Prévue dans l' excursion, nous l' avions envisagée beaucoup plus longue !

A peine trente minutes après que nous ayons accosté, nous étions déjà de retour pour manger ... vraiment dommage !

Nous pique-niquions au bord de l' eau du copieux lunch préparé par le Crocodile Camp  et conservé jusqu' alors dans une glacière .

 

 

Mixant les "équipes" par rapport à celles établies à l' aller, nous ré-embarquions pour un retour de près de trois heures d' une nouvelle

apaisante navigation ... A plusieurs reprises, le poler a utilisé une "écuelle" pour tour à tour, écoper son embarcation, ou alors se désaltérer

de l' eau du fleuve, réputée d' une extrême pureté .

 

 

Calant comme il le pouvait son mokoro, notre poler  nous invitait subitement à nous redresser : au loin, un éléphant traversait les eaux du Delta . Le spectacle était assez étonnant, mais tenir la position debout dans la frêle embarcation se révélait  vraiment très instable : nous manquions à tout moment de chavirer . Puis, nous avons rejoint la base ... le bateau à moteur chargé de nous ramener au camp nous y attendait .

 

 

Contrastant avec la vitesse nonchalante de déplacement du mokoro sur les eaux, nous avions le sentiment d' y filer désormais à toute allure ...

Il était près de 17 heures lorsque nous accostions sur les berges du Crocodile Camp, conscients que nous avions vécu une fois encore au cours

de ce voyage, une nouvelle sublime expérience .

 

 

Nous regagnions alors notre emplacement . L' aire de camping était à nouveau étonnamment vide . Ce soir, et pour la première fois depuis

le début du séjour, nous n' avions pas eu à déplier les tentes, et n' avions pas, à bord de notre 4x4, parcouru le moindre kilomètre .

 


Le 13 Août

Scénic Fly au dessus du Delta

 

Ce matin, nous reprenions la direction de Maun . Un peu en avance par rapport à l' heure fixée pour notre rendez-vous, nous y faisions

quelques courses, y complétions notre réserve de carburant et déambulions parmi quelques-uns de ses nombreux craft shops .

Derrière ses allures de ville moderne, nous assistions à de désuètes scènes issues de la vie rurale : des charrettes tirées par des ânes,

des troupeaux de vaches ou de chèvres errant dans les rues ... Globalement, nous avons bien aimé l' ambiance singulière qui enveloppe

la ville considérée capitale touristique du pays .

 

 

Si nous étions revenus à Maun  c' était avant tout, pour y vivre une nouvelle expérience

que nous imaginions par avance, assez extraordinaire . Nous allions survolé le Delta

de l' Okavango  à bord d' un petit avion de tourisme que nous ne partagerions que

nous quatre .

Sur le tarmac de l' aéroport, nous faisions la rencontre du pilote de l' avion

avec lequel le vol s' effectuerait . Jamais nous n' avions pris place à bord de

ce type d' appareil ... nous n' étions néanmoins pas angoissées, trop impatients

au contraire, de vivre cette fabuleuse expérience totalement inédite .

 


 

Nous nous élevions au dessus de l' aéroport et survolions désormais les faubourgs de Maun . La ville avait laissé place à de petites habitations traditionnelles éparpillées dans la savane ... Nous atteignions déjà le Delta, survolant des zones sur lesquelles hier nous naviguions .

Aussi intensément vécue, sa découverte se révélait néanmoins bien différente . Ce vol panoramique nous permettait d'  apprécier l' immensité

du Delta . Le dominant, nous en distinguions son labyrinthe de lagunes, ses canaux et ses nombreux îlots où une grande diversité de la faune locale trouvait refuge .

 

Volant à faible altitude, nous allions avoir l' occasion d' y repérer les grands mammifères tels des girafes ou des éléphants, mais également

des troupeaux de zèbres et d' antilopes . Après hésitation, nous avions pris l' option limitée à une unique heure de vol .

Un peu barbouillés après les 45 premières minutes de vol, nous étions cette fois convaincus que nous avions fait le bon choix .

Un peu plus d' une heure après que nous l' ayons quitté, l' avion se posait sur le tarmac de l' aéroport de Maun .

Il y débarquait ses passagers, fascinés, encore un peu déboussolés, totalement séduits par la fabuleuse expérience qu' ils venaient

de partager (c' est bien de nous dont il s' agit !) . Le départ de notre vol avait été fixé à 10 heures du matin . Très probablement aurait-il été préférable de choisir des heures un peu plus "extrêmes", afin d' y bénéficier d' une meilleure lumière .

 

Kaziikini

 

Hier sur l' eau, aujourd' hui dans les airs, il était peut être désormais temps,

de redescendre un peu sur terre ! Une occasion supplémentaire d' explorer ce fabuleux

Delta de l' Okavango  que nous allions ainsi aborder sous différentes formes .

Ainsi, à bord de notre fidèle compagnon de route, nous prenions désormais la direction

du Moremi Game Reserve, situé dans la partie Ouest du Delta  .

Sur une piste sans encombre, nous allions rejoindre le camp de Kaziikini où nous avions

réservé un emplacement pour les deux prochaines nuits . Situé en bordure sud du Parc de Moremi, Kaziikini  est géré par la communauté des Sankuyo ; il est abrité sous une très belle

forêt de mopanes  . Nous y avons beaucoup apprécié son environnement totalement orienté

vers la nature ; il s' en dégageait une belle ambiance empreint d'une grande sérénité et nous inspirant personnellement la détente . Nous avions le sentiment d' occuper seuls cette belle

grande étendue sauvage, tant les emplacements voisins étaient éloignés du nôtre .  Nous y disposions par ailleurs, de sanitaires communs à ciel ouvert, et vraiment très bien entretenus .

Il correspondait tout à fait au type de camping nous ayant le plus inspiré au cours du voyage ... 

 

 

 


Le 14 Août

Game Drive à Moremi

 

A sept heures, notre guide était déjà là . Nous avions convenu d' un rendez-vous à 8 heures, mais ce dernier avait jugé

qu' il était préférable concernant l' observation des animaux, d' anticiper un peu le départ ... Nous ne pouvions qu' adhérer !

A bord de son véhicule réservé pour nous seuls, nous prenions la direction de la South Gate du parc de Moremi !

Nous avions lu beaucoup de mises en garde concernant l' état des pistes de Moremi, nous déconseillant concernant une première

expérience de conduite de 4x4, de nous y rendre en self-drive . En revanche, nous n' apprécions pas du tout nous faire trimballer

par une tierce personne, un guide en l' occurrence, dont nous ne parviendrions même pas à déchiffrer la plupart des explications

(notre niveau d' anglais étant vraiment très limité) . Ainsi, au cours de nos différents voyages et à chaque fois que cela a été possible,

avons-nous toujours privilégié l' intimité de notre famille aux excursions de type accompagnées .

Nous succombions cependant . Jouant cette fois la prudence, nous réservions le Full Day Moremi Drive, un game-drive organisé

dans Moremi Game reserve  et proposé entre autres, par le camp de Kaziikini .

 

 

Notre guide se montrait particulièrement prévenant, redoublant d' efforts pour se faire comprendre, tentant d' adapter son phrasé à notre

faible niveau d' anglais . Nous étions sur le territoire de chasse privilégié des lycaons (wild dog  en anglais !) ; le guide nous en montrait les empreintes sans pour autant que nous ne parvenions à en voir ne serait-ce que le museau ou la queue .

 

 

Nous n' allions ce jour, parcourir qu' un petit secteur du Parc de Moremi . Néanmoins, les paysages abordés nous ont paru d' une grande

diversité . Tour à tour, nous roulions à couvert sous de belles forêts de mopane, franchissions de petits lits de rivière, évoluions dans de

sublimes décors composés de marais ou de savane arborée ou encore de grandes étendues arides ... Moremi  ne ressemblait pas à Etosha,

ni à Chobe, pas plus qu' à Mahango ... Chacune de ces réserves sont vraiment marquées d'une identité forte leur étant propre, dont il aurait

été difficile de se prononcer concernant celle que nous avons préférée .

Moremi  abrite par ailleurs une faune qui nous a semblé assez diversifiée, les animaux étant cependant moins nombreux qu' ils ne pouvaient

l' être à Chobe . Hormis les animaux photographiés et présents sur cette page, nous y avons vu des chacals, des phacochères, de magnifiques élands, des crocodiles ...

 

 

Notre jeune guide nous a questionné sur les animaux que nous souhaitions voir . Observer un léopard nous aurait permis de réaliser le

fameux Big Five, c' est alors tout naturellement que nous lui donnions ce nom . A défaut, nous lui précisions qu' il nous serait également

agréable d' observer quelques grands fauves aujourd' hui . Repérant des empreintes de lions, le guide s' est mis en chasse . Ils devaient

pourtant être là, nous assurait-il  : nous partions, nous revenions, nous allions à nouveau avant que nous ne repartions  ...

Rien ! Nous ne les avons pas aperçus ...

 

 

Bien que seuls avec notre guide, nous n' osions pas le solliciter sans cesse pour nous arrêter à chacun des endroits où seuls, nous l' aurions immanquablement fait . Il était pourtant parfois tentant de le faire avancer ne serait-ce que d' un demi-mètre, reculer de deux, pivoter de 13,5°, effectuer un demi-tour ... Tout ces petits riens effectués tout naturellement dès lors que nous évoluions en totale autonomie . D' une manière générale, nous apprécions beaucoup trop notre liberté pour apprécier pleinement nous laisser ainsi guider . La prochaine fois ...

 

 

Les pistes où nous nous sommes engagés, proches de la South Gate  ne nous ont pas semblé plus difficiles que certaines que nous  ayons

par endroits, déjà empruntées . Une attention particulière devait cependant être appliquée dans la navigation, car les pistes nous paraissaient beaucoup moins bien repérées que celles des parcs d' Etosha  ou de Chobe  par exemple . Nous pensions néanmoins que nous aurions pu ici, nous aventurer seuls . La prochaine fois ...

Toujours est-il que nous nous sommes ensablés, chose que nous n' avions jusque là, pas encore fait ! Il avait suffi d' avoir à faire à un professionnel ... Mouhaha ! C' est un autre guide qui nous est venu en aide, et grâce à un remorquage, nous a sorti de cette mauvaise posture .

 

 

Étonnante conduite que celle de notre guide, par ailleurs très sympathique (commercialement sympathique ?!) : il s' effaçait

systématiquement sur le bord de la piste alors que nous allions croiser un de ses collègues, mais gardait le centre de celle-ci sans

la moindre décélération à l' approche de self-drivers ?! Nous avons aperçu certains visages de ces derniers, se décomposer alors

que nous les croisions . Ils étaient alors, parfois contraints de donner de grands coups de volant vers la gauche, les renvoyant sur

des surfaces dont la stabilité était incertaine ! Il nous semblait avoir déjà observé un tel phénomène lors de notre visite de Chobe,

sans réelle certitude et sans y avoir prêté vraiment attention . Cette fois alors que nous avions pris place à bord du véhicule "incivilisé",

le doute ne pouvait plus subsister ! Repensant à notre ensablement, nous nous interrogions : les guides portent-ils assistance aux

voyageurs de type "self-drive" lorsque ceux-ci sont en perdition ... nous l' ignorons ?! La prochaine fois ...

 

 

Le copieux repas du midi avait été préparé par le cuisinier du camp ... nous n' étions pas parvenus à en venir à bout ! Il a été dégusté prés

d' un mopane, dans une zone dégagée . Ainsi, pouvions-nous anticiper une hypothétique attaque de lions voulant s' en prendre à nos délicieux morceaux de poulet ! Nous ne pouvions pas manquer de les voir arriver ... Après les avoir désespérément cherchés ce matin, nous l' espérions presque !

 

 




Sur le chemin du retour nous observions encore plusieurs groupes d' animaux .

Stationnés pour observer un groupe de babouins, nous allions voir fondre sur nous,

deux jeunes éléphants ...


Tous deux ont bien essayé de nous intimider, mais notre guide semblait plus expérimenté que

ne l' étaient les deux jeunes pachydermes . Moteur arrêté, notre chauffeur n' a pas même pris

la peine de redémarrer, alors que le plus hardi des deux n' était plus qu' à quelques mètres

de l' endroit où nous stationnions . Alors qu' il réalisait qu' il n'était pas parvenu à nous

effrayer, l' animal dépité, s' en est allé .

 

Vous vous en seriez douté, nous émettons un avis plus que mitigé concernant ce game-drive encadré . Non pas que nous ne le

recommandons pas ... simplement : il ne nous correspond pas . L' avantage souvent avancé concernant ce type d' excursions est

qu' on y voit plus d' animaux qu' en self-drive ... Pour le coup, nous n' étions pas vraiment convaincus, persuadés en revanche,

qu' il nous faille à l' avenir, toujours privilégier cette indépendance à laquelle nous tenons plus que tout .

 

Retour au camp ...

 

Il était près de 17 h 30 lorsque nous regagnions notre emplacement .

La jolie balade avait tout de même duré plus de dix heures sans que jamais , nous n' ayons vu le temps passer . Cette fois encore, nous

n' avions pas de campement à dresser ; nous n' avions pas à sortir notre table et nos chaises, nous n' avions pas non plus à déplier nos tentes ... tout était restéen place, tel que nous l' avions laissé ce matin . Nous en profitions pour aller nous dégourdir un peu les jambes : nous avions tout de même passé l' essentiel de la journée, assis sur un banc en bois, trimballés à l' arrière d' un 4x4 !

Au cours de notre promenade, nous bénéficiions à nouveau, d' un somptueux coucher de soleil ...

Au cours du repas, nous nous étonnions du bruit suspect entendu

dans les buissons ... en sortaient des ratels (genre de blaireaux)

venus nous rendre visite  .

 

 



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